Dans l'intimité du monde, Espace Paul Rebeyrolle, Eymoutiers, mars-mai 2017
« Je l’avais surnommé Milan. Même regard perçant, une façon de tanguer les épaules et les bras, qui évoque le balancement de cet oiseau de proie. Une manière de planer avec nonchalance sans cesser d’observer, avant de fondre sur l’objectif. Savoir attendre l’instant parfait...» Jean-Paul Kauffmann, septembre 2016